samedi 7 septembre 2019

L’histoire d’Anneke Lucas examinée

Anneke Lucas, une américaine d’origine belge flamande, nous raconte avec beaucoup de détails les graves abus dont elle a été victime de ses 5 ans à ses 11 ans, fournie par sa mère aux mains d’un réseau dont certain des membres réapparaissent dans l’affaire Dutroux.
J’ai trouvé que c’était très intéressant, parce que si cette histoire est confirmée alors elle donne un autre point de vue sur ce « réseau de l’horreur ». En même temps on ne peut pas prendre cette histoire sans essayer de la vérifier au moins un peu, car on veut absolument éviter les cas comme celui de Rachel Dolezal.


C’est la raison pour laquelle j’ai décidé de tester la solidité de son récit, avec ce qui est disponible sur internet.
Après visionnage et lecture de matériel disponible sur internet, il me semble avoir trouvé quelques contradictions, dont une sur un point important de son récit. Il reste d’autres points à éclaircir.

Materiel utilisé
- Ecrit :
Anneke Lucas a un blogue (1) mais il existe également un PDF de 300 pages titré « Let It Bleed » (2) qui n’est à priori pas d’elle mais dont le contenu est très similaire à certaines entrées du blogue. On va voir que c’est presque certainement le sien, c’est en tous cas ce que je considère.
Au 5 septembre 2019 la dernière entrée du blogue a pour titre « Torture » sortie le 29 août 2019, et semble correspondre grandement aux pages 246 à 252 du PDF. J’effectue ici un test de similarité entre des passages du texte :

Echantillons du blogue (« Torture »)
Echantillons du PDF (page 246)
- The children push me through the hallway
- They timidly retreat towards the door.
Come closer, come closer,”
Jean calls out abstractedly.
“We all have to learn.”
Barely paying attention to the children, his gaze is absent, downcast. This is the most relaxed I’ve ever seen Jean.
- The children push me through the hallway.
- but they timidly retreat towards the door.
Come closer, come closer,”
Nihoul calls out abstractedly.
“We all have to learn.”
Barely paying attention to the children, his gaze absent, down, this is the most relaxed
I’ve ever seen Jean-Michel Nihoul.
Echantillon du Blog (« The Swing »)
Echantillon du PDF (page 172)
- She walked right into the swing, and it hit her eye.”
- That same afternoon, the local Catholic priest visited. He leaned back in a comfortable armchair, feet on the ottoman,  cigar stump in the corner of his mouth and a cognac tumbler in hand. When he saw me enter the room, he was so shocked he jerked up.
-She walked right into the swing, and it hit her eye.”
- That afternoon the priest, leaning back in a comfortable armchair, feet on the ottoman, burning cigar in the corner of his lips and half full cognac tumbler in hand, is so shocked when I enter the living room that he jerks forward

Vu la quasi-identité des échantillons, les auteurs du blogue et du PDF sont une seule et même personne, Anneke Lucas. C’est de ce PDF dont je vais me servir car il contient plus d’éléments vérifiables que le blogue. Ce PDF porte presque exclusivement sur la relation d’Anneke Lucas avec le bandit Patrick Haemers de 1973 à 1974.

Vidéo :
Anneke Lucas: I Was a Sex Slave to Europe's Elite at Age 6 (ORIGINAL) (3)


Analyse

A. Les blessures au corps
La plupart des photos d’Anneke Lucas qui vont suivre sont disponibles sur son profile Facebook (6) et une provient de son PDF.

a) Blessures qui laissent des cicatrices.
Dans une de ses vidéos (3 à 1:56), Anneke Lucas dit que son "corps est plein de cicatrices", et elle exhibe en même temps un de ses avant-bras :



Ces cicatrices sont les traces restantes d'une nuit d’horreur alors qu'elle avait 11 ans et qui aurait dû se finir par son meurtre. Jean-Michel Nihoul la torture et la fait torturer par d’autres enfants. Il y a une brulure de cigarette, et des perforations de la peau et des muscles à l’aide de divers instruments. Dans le PDF elle dit « Je pourrais […] penser au […] sang qui coule de plusieurs dizaines de blessures » (E).
Il n’est pas évident de savoir à quoi ressemble une cicatrice de brulure de cigarette, ni des coupures, ni les autres sévices qui sont décris plus bas. D’après ce que j’ai pu trouver sur internet, les brulures de cigarettes ou les coupures que certains adolescents s’infligent sur les avant-bras peuvent laisser des marques, si bien que certains décident de les couvrir par un tatouage. Bien sûr ces marques dépendent de la sensibilité de la peau et de la profondeur des blessures infligées.

 

i) Blessures à l'avant-bras
« Nihoul m'attrape par le poignet droit et le tire, le tord, ainsi mon bras se replie douloureusement en arrière. Nihoul pointe sa cigarette allumée vers mon avant-bras, à quelques pouces [NdT : 1 pouce = 2,54 cm] du renfoncement du coude. Patrick rit avec dans la voix un sarcasme signifiant très clairement : "N'attends aucune sympathie de ma part". Nihoul creuse la cigarette brûlante dans la chair de mon bras. Je sens l’odeur des poils et de la chair brûlés. » (A)

«  [Nihoul] m’enfonce quelque chose qui ressemble à un outil médical avec une pointe en forme de cône dans le bras, juste à côté de la brûlure de cigarette béante. Je respire lentement, j'écoute le son qu'il fait au fond de ma gorge. Nihoul tord le cône dans la peau déchirée, creusant plus profondément. » (B)


Réflexion : 
ici on ne voit pas de cicatrice de brulure de cigarette, cependant on a du mal à évaluer si le champ de la caméra couvre une longueur de « quelques pouces » sur l’avant-bras. La cicatrice pourrait également avoir disparue ou s’être atténuée avec le temps.


ii) Blessure à la pommette gauche
« Nihoul trouve une mince barre d'acier déformée, comme une mèche de perceuse à pointe carrée, qu’il abat sur mon œil. Je louche, et je sens le métal déchirer ma peau quand il touche la pommette gauche.
"Voilà, un souvenir", plaisante Nihoul. » (C)


Réflexion : 
par chance, le « souvenir » ne semble pas avoir persisté sur la pommette gauche ou droite.


iii) Blessures sous les detoïdes des deux bras

« [Nihoul] s’accroupie, fouille bruyamment dans la boîte à outils contenant les outils de torture, saisit une sangle avec des clous et enfonce furieusement les clous dans mon bras droit, sous le deltoïde, en frappant systématiquement plusieurs points à la fois, créant un bande de sang sur la circonférence du bras.
[…]
Nihoul, après avoir perforé toute la circonférence de mon bras droit, tend la sangle sanguignolante à la fille qui lui fait face à ma hauteur d'épaule, et elle réplique le travail de Nihoul sur mon bras gauche supérieur. » (D).


Réflexion : 
On parle donc ici de cicatrices sur les pourtours des deux bras, sous le deltoïde. Ce qui n’est pas forcément visible sur les photos d’Anneke Lucas


b) Un « œil au beurre noir » qui pourrait apparaitre sur une photo :


 Un « œil au beurre noir » est une ecchymose autour de l’œil qui met une à deux semaines à disparaitre, d’après wiki. (5) Les photos ci-dessus ont été prises en juillet 1974. Or voilà un épisode qui est arrivé le même mois de la même année :

« Villa près de Gand, Belgique, Juillet 1974 » (F)
« Le poing en serré de Patrick me frappe la mâchoire avec une telle force que je vole en arrière et tombe sur le sol. Il me tire vers le haut, me jette sur le lit et me frappe à nouveau. Mon œil gauche se ferme et gonfle rapidement. » (G)
« [Le prêtre] pointe son pouce vers l'arrière-cour et se met à rire.[NdT : en pointant vers la balançoire avec laquelle Lucas est censée avoir eu un accident]
« Ça a dû être un sacré bruit, quand ce coup est arrivé", poursuit-il. "J'espère que tu n'as pas effrayé les voisins, Ann. C'est toujours si calme ici, ils ont dû penser que le toit s'était effondré."
Maman le rejoint dans un joyeux rire, et le missionnaire aussi.
« Tu t'es vraiment arrangé le visage ! » plaisante le missionnaire. » (H)

Réflexion : 
Pour que cela soit possible il faut que les moments où les coups ont été portés et où la photo a été prise soient suffisamment espacés, ce qui est possible.


Synthèse sur les blessures physiques :
Anneke Lucas dit avoir vécu une nuit de torture au cours de laquelle elle a failli laisser la vie, mais au terme de laquelle elle sortira du réseau, et qui a laissé son corps « plein de cicatrices ». Les positions de certaines de certaines d'entre elles sont indiquées de manière assez précise dans le texte, mais n’apparaissent pas sur les photos. Lorsque contactée à ce sujet, Anneke Lucas dit que ces cicatrices ont 45 ans et que si on veut les voir il faut regarder de près. Cela serait le cas pour des blessures superficielles, mais son récit fait penser à des blessures bien plus sérieuses.



B. Relation avec Patrick Haemers

Dans le PDF, Anneke Lucas explique qu’elle a eu une relation avec Patrick Haemers qui a duré un an.

Patrick Haemers, parfois surnommé le « Mesrine belge », fut un bandit belge des années 80 et 90 ayant entre autre kidnappé et rançonné l’ancien premier ministre belge Paul Vanden Boeynants, ayant volé l’argent de convois de fonds en prenant 28 personnes en otage. La violence des moyens utilisés lors des vols a eu pour résultat la mort de plusieurs travailleurs. Il est issu d’une famille riche et a été enfermé plusieurs fois, dont une fois pour viol en 1978. Il y a une date importante ici : « Une fois sorti de prison, les événements s’enchaînent : en 1983, Haemers fait son premier gros coup », source Wiki (4)

D’après Wikipedia, le premier gros coup de Patrick Haemers est donc 1983. D’après son PDF, Anneke Lucas a vu Patrick Haemers pour la dernière fois en octobre 1974. Or, voilà un des échanges qu’ils ont :
« Je [Patrick Haemers] suis un escroc. Je braque des banques, des transports de fonds, des bureaux de poste, tout ce qui me tombe sous la main. » (I)

Réflexion : 
si en 1974 ou avant, Patrick Haemers a braqué des banques, des transports de fonds, des bureaux de poste, alors cela n’apparaît pas dans son « CV ».


C. La langue utilisée entre Anneke Lucas et Patrick Haemers

Patrick Haemers parle le français et ne comprend pas le flamand, Anneke Lucas parle le flamand.
« L'homme me demande, en flamand, d'où je viens à Anvers et m'informe, en flamand, qu'il a grandi dans un quartier voisin. Il me demande si je connais la rue, mais je ne la connais pas. Je commence à me sentir mal à l'aise d'avoir cette conversation dont Patrick ne comprend pas un mot. » (J)
Anneke Lucas semble parfois comprendre le français, et parfois pas (dissociation ?)
« Après une prière maladroite, [le baron d'Auriac] s'entretient avec Florence et son frère aîné Jacques en français, langue de l'aristocratie, et je ne comprends que le flamand. »
[…]
« Mon cerveau (? incompréhensible, voir texte original), et après le « tic », je suis dans une autre dimension. Dans un état jubilatoire, je me rends compte que nous pouvons jouer - après tout. Je pose mon couteau et, la fourchette dans la main droite, je pique les petits pois. Le baron d'Auriac me jette des regards sévères du coin de l'œil. J'en fais un vrai spectacle, en chassant les petits pois dans mon assiette. Jacques et Florence commentent en plaisantant en français - je comprends chaque mot."

Anneke Lucas ne parle pas encore anglais, même si elle le comprend. On ne sait rien des aptitudes de Patrick Haemers à ce sujet :
« Je comprends l'anglais en regardant des émissions de télévision américaines sous-titrées."
et bien plus loin dans le PDF :
"Puis Patrick parle d'une voix détachée et autoritaire :
«[…] Tu devrais étudier l'anglais, déménager à New York et y vivre."" (L)
Le seul langage en commun possible semble alors être le français, seulement dans ce contexte comment comprendre cela :
[à propos des paroles d’une chanson française passant à la radio :]
"”Tu comprends les paroles ?” Patrick nettoie l’arrière de mon genou droit en enlevant minutieusement le sang séché autour de la coupure.
J’acquiesce." (M)

Reflexion : 
il n’est pas aisé de connaitre le langage utilisé entre Patrick Haemers et Anneke Lucas. Ca pourrait être du français ou en mauvais anglais.


Discussion : 
plusieurs partie du récit d’Anneke Lucas posent question. Si comme elle le dit, son corps est « plein de cicatrices », difficiles de voir à quel endroit sur les photos d’elle. D’autre part, le récit de sa rencontre avec Patrick Haemers semble anachronique, car s’il lui dit qu’il vole des banques et des convois de fonds au plus tard en 1974, Patrick Haemers ne semble avoir été dans ce genre d’activités qu’à partir des années 80, selon sa page Wikipedia. La question du langage utilisé entre Anneke Lucas et Patrick Haemers reste ouverte, mais ne doit pas être sous-évaluée dans son importance.
Maintenant, que certaines parties d’un récit ne correspondent pas à la réalité ne signifie pas que ces souvenirs ne proviennent pas d’évènements qui ont eu lieu. En fait les souvenirs se construisent et se reconstruisent à chaque fois qu’ils se rappellent à la mémoire, en fonction du contexte, des croyances, etc… Par exemple, le fait que Patrick Haemers ne soit pas encore un gangster en 1974, alors que selon Anneke Luca, c’est déjà le cas, ne pose pas de problème : il se pourrait que des souvenirs réels de Patrick Haemers se soient mêlés à d’autres relatifs à la médiatisation du gangster qu’il était devenu dans les années 80. Cependant, plus problématique est le récit de l’évènement qui a résulté en en un corps plein de cicatrices, et qui est l’un des plus importants de son histoire car elle y fait souvent référence. L'absence de traces tend à faire penser que l'évènement n'a pas eu lieu, ou ne s'est pas passé exactement de la même façon qu'il est raconté.


Conclusion : 
pas vraiment de conclusion ici, surtout que je n’ai pas l’impression que l’enquête est terminée. En l’attente de nouveaux éléments, de personnes me contredisant.









Extraits du PDF « Let It Bleed », anglais en partie traduit avec www.DeepL.com/Translator, puis modifié.
(A) « Nihoul grabs me by the right wrist and pulls it, twists it, so the arm folds back painfully. Nihoul points his burning cigarette at my forearm, a few inches from the elbow crease. Patrick laughs sarcastically, making it very clear: ‘Don’t expect any sympathy from me.’ Nihoul digs the burning cigarette into the flesh of my arm. I smell the hairs and the flesh burning. » (PDF page 245)
(B) « He sticks something that looks like a medical tool with a cone shaped point into my arm, right next to the messy, gaping wound of the cigarette burn. I breathe in slowly, listen to the sound it makes in the back of my throat. Nihoul twists the cone into the ripped skin, digging deeper. » (PDF page 247)
(C) « Nihoul fishes for a thin bar of warped steel, like a drill bit with a square tip, which comes flying towards my eye. I squint, and feel the metal ripping my skin as it hits my left cheekbone.
There, a souvenir,” Nihoul jokes. » (PDF page 248)
(D) « [Nihoul] ducks, noisily rummages in the torture tool bin, lifts out a strap with nails, and furiously digs the nails into my right arm, underneath the deltoid, systematically stabbing, hitting several points at once, creating an armband of blood. 
[…]
Nihoul, after puncturing the whole circumference of my right upper arm, hands the bloody nail strap to the girl across from him at my shoulder level, and she copies Nihoul’s job on my left upper arm. » (PDF page 250)
(E) « I could […] think about […] the blood flowing from several dozen wounds » (PDF page 249)
(F) Villa near Ghent, Belgium, July 1974 (PDF page 164)
(G) « Patrick’s balled fist hits my jawbone with such force that I fly backwards and hit the ground. He pulls me up, throws me on the bed and punches me again. My left eye closes and rapidly swells. » (PDF page 166)
(H) [The priest] points his thumb in the direction of the backyard and begins to laugh.
« That must have been quite a bang, when that hit,” he goes on. “I hope you didn’t scare the neighbors, Ann. It’s always so quiet here; they might have thought the roof came crashing down.”
Mama joins him in merry laughter, and so does the missionary.
« You sure made a mess of your face!” the missionary jokes. (PDF page 172)
(I) « I’m a crook. I rob banks, money transports, post offices, anything. » (PDF page 136)
(J) « The man asks me, in Flemish, where in Antwerp I’m from and informs me, in Flemish, that he grew up in a neighboring suburb. He asks me if I know the street, which I don’t. I start to feel very uncomfortable having this conversation of which Patrick can’t understand a word. » (PDF page 95)
(K) « After leading everyone in a mumbled prayer, he converses with Florence and her older brother Jacques in French, language of the aristocracy, and I only understand Flemish. »
[…]
« My brain shorts, and after the glitch I’m in a different realm. Full of glee, I realize we can play - after all. I put my knife down and with the fork in my right hand, I stab at the peas. The baron d’Auriac throws me severe looks out of the corner of his eye. I make a real show of it, chasing the peas round and round on my plate. Jacques and Florence jokingly comment in French - I understand every word. » (PDF pages 22-23)
(L) « Iunderstand English from watching subtitled American television shows.” (PDF page 105)
“Then Patrick speaks in a detached, authoritative voice:
« You should study English and move to New York and live there.”” (PDF page 278)
(M) [about the lyrics of a French song aired on the radio:]
“Do you understand the words?” asks Patrick as he washes the back of my right knee, painstakingly cleaning off dried blood around the cut.
I nod.”








13 commentaires:

  1. Hello, may I ask you where can I find the pdf Let It Bleed? Would like to read it but can´t find it anywhere :( Thank you very much!

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    1. Sorry for this very late response, I forgot where I got the PDF from, however I could publish it here (if I find it).

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  2. Hello, may I ask you where can I find the pdf Let It Bleed? Would like to read it, but can´t find it anywhere :( Thank you! Yvonne

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  3. Quelle est la source de ce PDF dont vous parlez et d'où l'avez vous téléchargé ?

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    1. Je ne sais plus où j'ai téléchargé le PDF, ce que je sais est qu'il correspond à son blogue. Je vais le poster si je le retrouve.

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  4. Hi. I´m portuguese, I don´t speak french, only english, spanish and portuguese. I want to ask you a favor. Can you send me the book "Let it bleed"?
    I can´t find it on the internet. This is my email, jesusanasofiade@gmail.com

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  5. https://www.reddit.com/r/conspiracy/comments/i80yp8/is_high_profile_pedophiles_accuser_anneke_lucas/

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  6. https://www.reddit.com/r/conspiracy/comments/i80yp8/is_high_profile_pedophiles_accuser_anneke_lucas/

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  7. Voici d'autres infos.
    En anglais..
    https://www.reddit.com/r/conspiracy/comments/i80yp8/is_high_profile_pedophiles_accuser_anneke_lucas/

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  8. Voici d'autres infos.
    En anglais..
    https://www.reddit.com/r/conspiracy/comments/i80yp8/is_high_profile_pedophiles_accuser_anneke_lucas/

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  9. Je crois que vous n’avez pas bien regardé , on voit sur les photos les nombreuses cicatrices.
    Peut être devriez vous faire un tour chez l’ophtalmologiste, car il me semble qu’une poutre s’est immiscée dans votre champs de vision, et vous obscurcie la vue!

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    1. Bonjour Jade,
      Il est fort possible que les cicatrices sur les photos m'aient échappé, il serait utile que vous puissiez me faire parvenir des photos où vous entourez les cicatrices là où vous les voyez, pour m'aider à les voir.
      Comment me faire parvenir ces photos ? je viens d'ajouter un formulaire de contact. Et si vous souhaitez que cela soit public, publiez ces photos sur votre blogue et postez un lien ici !
      Bonne journée.

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    2. Je m'aperçois que le formulaire de contact ne permet pas d'attacher de document, dont des photos, ce qui est fort dommage. Essayons de discuter ici les photos qui sont sur mon blogue.

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De temps en temps je cherche à éclaircir mes connaissances sur certaines affaires ou certains sujets. Je fais alors des recherches, et vu l...